Que ce soit dans notre poche, collé à notre oreille ou sur la table de chevet, nos téléphones ne sont jamais bien loin de nous. Ils émettent pendant ce temps-là une certaine quantité d’ondes invisibles que notre corps absorbe chaque jour. Pour autant, nous ne connaissons pas parfaitement ces phénomènes et les risques afférents. Les ondes électromagnétiques émises par les téléphones portables sont-elles vraiment sans danger ? Comment se protéger ?
Des risques inquiétants mais contestés
La question des ondes électromagnétiques et de leurs effets sur la santé est toujours sujette à de nombreuses discussions et polémiques, notamment au sein de la communauté scientifique.
La liste des effets indésirables potentiels de ces ondes s’allonge d’année en année :
- Certains utilisateurs rapportent des sensations de maux de tête, acouphènes, picotements des doigts et troubles du sommeil, entre autres[1][2]
- Certaines études tendent à montrer une augmentation du risque de tumeurs intracrâniennes liée à l’utilisation intensive des téléphones portables sur le long terme[3][4]
- Il pourrait également y avoir des effets négatifs sur la fertilité[5] et sur l’augmentation du risque de fausses couches[6]
Ces résultats sont toutefois à considérer avec un regard critique. En effet, plusieurs aspects peuvent remettre en question ces études :
- Il existe des études plus ou moins concluantes et avec des méthodologies critiquables
- Il est difficile pour les études réalisées in vitro (c’est-à-dire dans des éprouvettes et non sur le corps humain entier) de transposer leurs résultats à la vie réelle
- Il s’avère presque impossible à notre époque de constituer des groupes témoins non exposés aux ondes
- Les connaissances dans le domaine de la physique, biophysique et l’électromagnétisme sont parfois insuffisantes pour comprendre parfaitement ces phénomènes
Toutes ces recherches sont donc à prendre en compte avec objectivité. Néanmoins, nous ne devons pas baisser la garde pour autant.
Le principe de précaution est de rigueur
L’absence de preuve ne constitue pas une preuve d’absence. S’il n’y a pas de consensus certifiant la dangerosité de ces ondes, cela ne veut pas pour autant dire qu’elles sont inoffensives. La communauté scientifique est unanime quant au fait qu’il faut poursuivre les recherches à l’aide d’études plus importantes.
Les dernières grandes analyses dans le domaine, notamment au sujet des cancers du cerveau, ont poussé le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) à classer ces ondes comme “peut-être cancérogènes”[7]. Le terme “peut-être” résume assez fidèlement ce qu’il en est actuellement de la recherche en la matière : nous ne sommes pas certains des effets sanitaires des ondes de nos téléphones, dans un sens comme dans l’autre. Nous ne pouvons ni prouver qu’elles sont nocives, ni qu’elles sont sans risques.
Ce manque de connaissances est également couplé à un manque de recul quant à cette technologie. L’utilisation massive des téléphones portables est tout de même assez récente à l’échelle de l’humanité. Ce manque de recul est encore plus important chez les enfants, la génération d’adultes actuelle n’ayant pas été majoritairement élevée sous l’influence permanente de ces appareils.
Dans le doute, la vigilance est de mise. C’est ce que suggère l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) qui nous incite à suivre certaines recommandations quant à l’utilisation de ces appareils, notamment celle de réduire notre exposition[8].
Comment Fazup me protège ?
Le patch Fazup a pour vocation de protéger les usagers d’une exposition trop importante aux ondes. Pour comprendre comment un patch peut limiter la quantité de rayonnements électromagnétiques absorbée, il faut tout d’abord comprendre comment cette exposition est quantifiée.
Comment mesure-t-on l’exposition aux ondes électromagnétiques ?
Il faut savoir qu’il existe des normes en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques. Cette exposition est évaluée grâce à un indice de référence, le débit d’absorption spécifique ou DAS. Le DAS mesure le niveau maximal d’énergie absorbée au cours d’un appel téléphonique et quantifie ainsi l’exposition des usagers aux ondes. La mesure du DAS ne peut se faire que dans des laboratoires accrédités et avec du matériel spécifique. Il s’agit de la seule norme internationale qui permet d’évaluer l’exposition aux ondes par le corps humain de façon fiable.
Pour un usage du téléphone au contact de l’oreille lors d’une communication vocale ou au contact du tronc (dans la poche de la veste par exemple), la valeur limite du DAS doit être de 2 W/kg. Les fabricants de mobiles doivent donc respecter cette norme européenne pour pouvoir mettre leurs produits sur le marché.
Un DAS plus faible impliquerait donc une exposition réduite aux ondes électromagnétiques.
Comment fonctionne Fazup ?
Fazup est un patch extra-fin qui agit comme une antenne passive à l’arrière de votre téléphone. Sa forme et ses composants lui permettent de réguler la quantité d’ondes qu’émet votre téléphone et auxquelles vous êtes exposé chaque jour.
Les tests réalisés par des laboratoires indépendants et accrédités à la mesure du DAS le montrent : Fazup diminue considérablement le niveau d’absorption des ondes par la tête et le corps des utilisateurs. Ces analyses révèlent une réduction pouvant aller jusqu’à 96% des ondes absorbées.
Chaque modèle de mobile est également soigneusement testé afin de trouver le positionnement optimal du patch qui réduira au maximum l’émission d’ondes, sans entraver la réception du réseau. Il n’y a donc pas de craintes à avoir quant à une éventuelle perte de qualité de réception. De même, le patch n’aura pas d’impact négatif sur la batterie de votre téléphone.
L’ANSES le rappelle : il faut privilégier les DAS les plus faibles et réduire au maximum l’exposition de nos enfants à ces ondes[8]. C’est ce que permet très simplement Fazup, sans pour autant impacter vos habitudes quotidiennes.
Est-ce un effet placebo ?
La crainte de l’effet placebo
Les retours des utilisateurs Fazup (évalués selon la norme AFNOR) sont positifs : 85% d’entre eux sont satisfaits.
Pourtant, certains craignent que ces avis ne soient liés à un effet placebo et non à une réalité physiologique.
Tout d’abord, il est important de rappeler qu’un effet placebo constitue quoi qu’il en soit une réponse et qu’il ne faut pas le négliger. Ce phénomène a déjà fait ses preuves, en particulier pour améliorer les troubles subjectifs qui ne dépendent donc que du ressenti d’une personne (migraines, douleurs par exemple). Le placebo est d’ailleurs largement utilisé dans le milieu médical afin de soulager les patients. Plus de la moitié du personnel soignant utilise des placebos sous différentes formes : gélules ou perfusions de sucre, impurs type Vitamine C.
Le cas des dispositifs Fazup
Dans le cas des dispositifs Fazup, l’impact de l’effet placebo est pourtant certainement limité. Effectivement, il est peu probable que ces retours positifs soient liés uniquement à ce phénomène car les conditions initiales lors de la commande du dispositif Fazup ne sont pas idéales pour l’apparition de l’effet placebo :
- Il y a un scepticisme ambiant quant à ce type de dispositif qui, n’étant pas prescrit dans un cadre médical, ne profite pas d’un environnement thérapeutique favorisant un effet placebo
- Certaines personnes constatent une amélioration, voire une cessation, de troubles (maux de tête par exemple) qui n’étaient pourtant pas attribués à l’utilisation de leur téléphone mobile et pour lesquels elles n’avaient pas d’espoirs de guérison
- Les utilisateurs qui constatent une amélioration de leurs symptômes ont souvent par le passé essayé des options médicamenteuses reconnues. Sans succès malgré un potentiel effet placebo avéré pour ces thérapeutiques
- Les utilisateurs oublient parfois l’existence du dispositif, puisque celui-ci peut être caché par la coque du téléphone
Par ailleurs, les retours positifs quant à l’amélioration des symptômes sont considérables. 95% des utilisateurs sujets aux migraines lors de l’achat ont constaté une régression de celles-ci. Or, l’effet placebo représenterait en moyenne 30% des réponses aux migraines, au grand maximum 60%[10]. Même si ces chiffres ne constituent pas une étude clinique complète, il paraît peu probable que l’effet placebo soit le seul responsable de ces résultats.
Quoi qu’il en soit, les faits sont là : les utilisateurs sont satisfaits et ressentent une réelle amélioration par l’utilisation du patch.
Que ce soit pour vous protéger ou pour vous soulager de certains symptômes, le dispositif Fazup permet de limiter drastiquement l’exposition aux ondes dont nous connaissons encore mal les effets, et de répondre ainsi au principe de précaution.
Références
[1] Wang, Jing, Hui Su, Wei Xie, et Shengyuan Yu. « Mobile Phone Use and The Risk of Headache: A Systematic Review and Meta-Analysis of Cross-Sectional Studies ». Scientific Reports 7, no 1 (03 2017): 12595. https://doi.org/10.1038/s41598-017-12802-9.
[2] Stalin, P., Sherin Billy Abraham, K. Kanimozhy, R. Vishnu Prasad, Zile Singh, et Anil J. Purty. « Mobile Phone Usage and its Health Effects Among Adults in a Semi-Urban Area of Southern India ». Journal of Clinical and Diagnostic Research : JCDR 10, no 1 (janvier 2016): LC14‑16. https://doi.org/10.7860/JCDR/2016/16576.7074.
[3] Bortkiewicz, Alicja, Elżbieta Gadzicka, et Wiesław Szymczak. « Mobile Phone Use and Risk for Intracranial Tumors and Salivary Gland Tumors – A Meta-Analysis ». International Journal of Occupational Medicine and Environmental Health 30, no 1 (21 février 2017): 27‑43. https://doi.org/10.13075/ijomeh.1896.00802.
[4] Wang, Peng, Chongxian Hou, Yanwen Li, et Dong Zhou. « Wireless Phone Use and Risk of Adult Glioma: Evidence from a Meta-Analysis ». World Neurosurgery 115 (juillet 2018): e629‑36. https://doi.org/10.1016/j.wneu.2018.04.122.
[5] Miller, Anthony B., Margaret E. Sears, L. Lloyd Morgan, Devra L. Davis, Lennart Hardell, Mark Oremus, et Colin L. Soskolne. « Risks to Health and Well-Being From Radio-Frequency Radiation Emitted by Cell Phones and Other Wireless Devices ». Frontiers in Public Health 7 (2019): 223. https://doi.org/10.3389/fpubh.2019.00223.
[6] Shamsi Mahmoudabadi, Fatemeh, Saeideh Ziaei, Mohammad Firoozabadi, et Anoshirvan Kazemnejad. « Exposure to Extremely Low Frequency Electromagnetic Fields during Pregnancy and the Risk of Spontaneous Abortion: A Case-Control Study ». Journal of Research in Health Sciences 13, no 2 (17 septembre 2013): 131‑34.
[7] Communiqué de presse du CIRC : « LE CIRC CLASSE LES CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES DE RADIOFREQUENCES COMME « PEUT-ETRE CANCEROGENES POUR L’HOMME » », 2011, 7., https://www.iarc.fr/wp-content/uploads/2018/07/pr208_F.pdf
[8] « Radiofréquences, téléphonie mobile et technologies sans fil | Anses – Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail ». https://www.anses.fr/fr/content/radiofr%C3%A9quences-t%C3%A9l%C3%A9phonie-mobile-et-technologies-sans-fil.
[9] Héron, Anne, Christophe Leroux, et David Dubayle. « [Use of placebo in French hospitals: data from polyvalent medicine units] ». Medecine Sciences: M/S 35, no 8‑9 (septembre 2019): 674‑81. https://doi.org/10.1051/medsci/2019127.
[10] Autret, A., D. Valade, et S. Debiais. « Placebo and other psychological interactions in headache treatment ». The Journal of Headache and Pain 13, no 3 (avril 2012): 191‑98. https://doi.org/10.1007/s10194-012-0422-0.